Nous sommes engagés dans un monde ou les perceptions des distances se sont modifiées. Les révolutions industrielles font place aux croissances économiques, aux bouleversements financiers.
Nous tirons notre histoire derrière nous, l’histoire de l’humanité, que nous gardons en mémoire mais nous avons l’impression que nous sommes dans un moment de cette histoire où « tout part en miettes, le centre ne peut plus être le soutien, la simple anarchie se répand dans le monde ».
Ce qui nous permet de mettre en évidence la foi en l’homme, foi dans l’approfondissement des connaissances, sans quoi, on se retrancherait dans le fanatisme : la perte de l’humanité.
« J'ai confiance en l'homme mais je constate sa cruauté quand il devient soumis, à quelque dogme que ce soit ».
« J'ai confiance en l'homme quand il se creuse pour accroitre ses connaissances, construire, penser, écrire mais je le sais atteint de pouvoir, et cela se constate à tous les niveaux ».
Dans ce monde devenu si petit, et si étendu, nous nous inquiétons, doutons de nos inquiétudes.
C'est dès lors à penser des nouvelles réalités, à analyser, évaluer, réfléchir, comprendre, hiérarchiser, clarifier les termes des choix, que nous avons à travailler.
Souvenons-nous de J.J. Rousseau : « L’homme n’est point fait pour méditer mais pour agir ».
Hannah Arendt quant à elle disait : « La pensée seule n'apporte pas grand-chose à la société, bien moins que la soif de connaissance, qui l'utilise comme un instrument pour d'autres fins ».
Et tout ceci en tenant compte de notre liberté de pensées, en restant conscients que nous sommes un disque mou (cerveau) et que nous sommes des humains parmi les autres humains, avec des idées différentes et des objectifs d’évolutions de régimes différents.
Ainsi nous sommes microscopiques vu du haut de la montagne.
Nous voyageons du pied au sommet, dans ce monde en perpétuel mouvement.
Grâce Garcet
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louis (mercredi, 21 décembre 2016 12:17)
La condition de l'homme actuel par l'entrechoc des plusieurs idées dans un même maillage : belle esquisse.